EDITORIAL

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La voix vaporeuse de Céline Dessberg a la douceur d’un été qui s’attarde, d’une mélancolie légère dont on garde l’empreinte. Cette légèreté, l’artiste la guide au son du yatga, harpe mongole à 21 cordes qu’elle a apprise en autodidacte après que sa famille lui en a offert une. De ses débuts à la préparation de son premier album, l’entretien retrace le parcours déjà prometteur de l’autrice et interprète de Chintamani. Une conversation accompagnée des clichés d’Axel Duc Khôi Manceau, où Céline porte des vêtements traditionnels mongols.

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